Dans les mois précédant les scrutins locaux, il n’est pas rare d’entendre des « candidats en devenir » exprimer leur crainte de ne pas être en mesure d’assumer un mandat électif en parallèle de leur activité professionnelle.
Cette crainte, parfaitement légitime au regard de la charge de travail que représentent les mandats locaux, a été entendue par le législateur qui a progressivement consacré au profit des élus locaux des garanties leur permettant de concilier « activité professionnelle » et « exercice d’un mandat local ». Il s'agit, notamment, des « crédits d’heures » et des « autorisations d’absence ».
Vous souhaitez en savoir plus sur ces dispositifs ? contactez-moi pour accéder à l'article que nous leur avons consacré, avec Ludovic Midol-Monnet, au sein du "Courrier des Maires et des élus locaux" ?
Pour accéder au dossier "VERS UN STATUT DE L’ÉLU À HAUTEUR DE TOUS LES MAUX ?" du courrier des Maires, rdv au lien suivant : https://www.courrierdesmaires.fr/article/vers-un-statut-de-l-elu-a-hauteur-de-tous-les-maux.57374
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